Le bon comportement envers la mère
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t@7t-essour :: Croyances :: Générale
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Le bon comportement envers la mère
Il
existe une personne qui ne cesse de se dévouer et de se
sacrifier.
Combien s’est-elle affligée pour que tu sois heureux !
Combien s’est-elle affamée pour que tu sois rassasié !
Combien a-t-elle pleuré pour que tu ries ! Combien
est-elle restée éveillée pour que tu dormes !
Combien a-t-elle supporté les difficultés pour que tu
sois tranquille ! Lorsque tu es heureux, elle l’est aussi, et
lorsque tu es triste, elle l'est aussi. Lorsque tu es accablé
par les malheurs, sa vie n’est alors que soucis. Son souhait est
que tu vives heureux, content, satisfait et agréé des
autres. Cette personne est une personne faible qui donne sans rien
demander en retour, qui se dévoue sans attendre de
remerciements. As-tu entendu parler d’une personne qui t’aime
plus que ses biens ? Mais non ! Plutôt qui t’aime
plus que sa vie ? Mais non ! Plutôt plus que sa
propre personne ? Si, cette personne t’aime plus que sa propre
personne ; cette personne n’est autre que la mère. En
effet, cher serviteur musulman, cette personne est ta mère.
Ô
toi -qu’Allah te préserve - médite sur ta situation
lorsque tu étais enfant et remémores ta faiblesse.
Ta mère t’a porté dans son ventre durant neuf mois,
subissant pour toi peine sur peine. Elle te porta péniblement
et accoucha dans la douleur. Plus tu te développais et plus
elle s’affaiblissait. Tu lui fis subir plus que ce qu’elle
pouvait supporter,
tant
son corps était faible et son état en fragilité
extrême. Pendant l’accouchement, elle a pu percevoir la mort
de ses propres yeux. Ce fut, en effet un accouchement chargé
de soupirs, de gémissements, d’angoisses et de souffrances.
Malgré tout, elle continua à patienter encore et
encore, et lorsqu’elle t’aperçut près d’elle et
te serra contre sa poitrine, et lorsqu’elle sentit ta respiration
se réitérer, elle oublia ses souffrances, et fit mine
d’oublier ses douleurs.
À
l'heure où elle te vit, elle reposa tous ses espoirs sur toi,
et vit en toi tous les plaisirs et la beauté de la vie.
Ensuite, elle se consacra à ton service nuit et jour. Elle
sacrifia sa santé pour te nourrir, elle s’amaigrit pour ta
croissance, elle s’affaiblit pour te rendre fort. Ta nourriture fut
son lait, ton foyer fut son giron, et ses deux bras te
transportèrent. Elle t’entoura (d’affection) et prit soin
de toi. Elle restait affamée pour te rassasier et restait
éveillée pour que tu dormes. Elle fut clémente
et tendre avec toi. Si jamais elle s’absentait, aussitôt tu
la demandais, et lorsqu’elle se détournait de toi, aussitôt
tu l’appelais à l’aide, et lorsque te touchait un mal,
aussitôt tu l’appelais au secours. Tu avais l’impression
qu’elle détenait tout le bien. Tu t’imaginais que le mal
ne pouvait pas t’atteindre lorsqu’elle te serrait contre sa
poitrine ou lorsqu’elle portait le regard sur toi. Elle te
préférait à elle-même en se privant de la
nourriture et du repos pour les mettre à ta disposition.
Quand
ton sevrage fut mené à son terme
au bout de deux années, et au moment où tu commenças
à marcher, elle fit cercle autour de toi avec une grande
prévenance, en te suivant du regard et en restant toujours
derrière toi, de peur qu’un mal te touche. Puis lorsque tu
grandis, son espoir en toi grandit également. Elle considère
ton bonheur plus cher que les biens de cette vie, quand bien même
ils lui auraient été entièrement proposés.
Toutes choses sont possibles pour ton confort, même sa propre
personne n’a plus grande valeur. En effet, elle préférerait
choisir la mort pour que tu vives en bonne santé.
existe une personne qui ne cesse de se dévouer et de se
sacrifier.
Combien s’est-elle affligée pour que tu sois heureux !
Combien s’est-elle affamée pour que tu sois rassasié !
Combien a-t-elle pleuré pour que tu ries ! Combien
est-elle restée éveillée pour que tu dormes !
Combien a-t-elle supporté les difficultés pour que tu
sois tranquille ! Lorsque tu es heureux, elle l’est aussi, et
lorsque tu es triste, elle l'est aussi. Lorsque tu es accablé
par les malheurs, sa vie n’est alors que soucis. Son souhait est
que tu vives heureux, content, satisfait et agréé des
autres. Cette personne est une personne faible qui donne sans rien
demander en retour, qui se dévoue sans attendre de
remerciements. As-tu entendu parler d’une personne qui t’aime
plus que ses biens ? Mais non ! Plutôt qui t’aime
plus que sa vie ? Mais non ! Plutôt plus que sa
propre personne ? Si, cette personne t’aime plus que sa propre
personne ; cette personne n’est autre que la mère. En
effet, cher serviteur musulman, cette personne est ta mère.
Ô
toi -qu’Allah te préserve - médite sur ta situation
lorsque tu étais enfant et remémores ta faiblesse.
Ta mère t’a porté dans son ventre durant neuf mois,
subissant pour toi peine sur peine. Elle te porta péniblement
et accoucha dans la douleur. Plus tu te développais et plus
elle s’affaiblissait. Tu lui fis subir plus que ce qu’elle
pouvait supporter,
tant
son corps était faible et son état en fragilité
extrême. Pendant l’accouchement, elle a pu percevoir la mort
de ses propres yeux. Ce fut, en effet un accouchement chargé
de soupirs, de gémissements, d’angoisses et de souffrances.
Malgré tout, elle continua à patienter encore et
encore, et lorsqu’elle t’aperçut près d’elle et
te serra contre sa poitrine, et lorsqu’elle sentit ta respiration
se réitérer, elle oublia ses souffrances, et fit mine
d’oublier ses douleurs.
À
l'heure où elle te vit, elle reposa tous ses espoirs sur toi,
et vit en toi tous les plaisirs et la beauté de la vie.
Ensuite, elle se consacra à ton service nuit et jour. Elle
sacrifia sa santé pour te nourrir, elle s’amaigrit pour ta
croissance, elle s’affaiblit pour te rendre fort. Ta nourriture fut
son lait, ton foyer fut son giron, et ses deux bras te
transportèrent. Elle t’entoura (d’affection) et prit soin
de toi. Elle restait affamée pour te rassasier et restait
éveillée pour que tu dormes. Elle fut clémente
et tendre avec toi. Si jamais elle s’absentait, aussitôt tu
la demandais, et lorsqu’elle se détournait de toi, aussitôt
tu l’appelais à l’aide, et lorsque te touchait un mal,
aussitôt tu l’appelais au secours. Tu avais l’impression
qu’elle détenait tout le bien. Tu t’imaginais que le mal
ne pouvait pas t’atteindre lorsqu’elle te serrait contre sa
poitrine ou lorsqu’elle portait le regard sur toi. Elle te
préférait à elle-même en se privant de la
nourriture et du repos pour les mettre à ta disposition.
Quand
ton sevrage fut mené à son terme
au bout de deux années, et au moment où tu commenças
à marcher, elle fit cercle autour de toi avec une grande
prévenance, en te suivant du regard et en restant toujours
derrière toi, de peur qu’un mal te touche. Puis lorsque tu
grandis, son espoir en toi grandit également. Elle considère
ton bonheur plus cher que les biens de cette vie, quand bien même
ils lui auraient été entièrement proposés.
Toutes choses sont possibles pour ton confort, même sa propre
personne n’a plus grande valeur. En effet, elle préférerait
choisir la mort pour que tu vives en bonne santé.
soeur-fillah- membre actif
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Nombre de messages : 489
Age : 34
Emploi/loisirs : religion
Date d'inscription : 26/05/2008
Re: Le bon comportement envers la mère
que dieu ait pitie de nos meres
merci ma soeur
merci ma soeur
ridhabond- ami
-
Nombre de messages : 1663
Age : 47
Localisation : el kolha ardh allah
Emploi/loisirs : khedmat il islam
Date d'inscription : 24/05/2008
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