pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
+5
lolita
Hela
blackleg
le tunisiano
halloula
9 participants
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
est-ce vrmt ont a besoin d'une reconnaissance de leur part?
à mon avis, tt ce qu'on fait n'engage en 1er lieu que notre personne. et puis, étant une femme, tt progrès, le plus minuscule qu'il soit, est dédié en premier lieu à moi même.
Qu'ils reconnaissent ou pas c leur affaire!
je me souviens avoir lu qq part: el mra eli t7eb tetsawa m3a erajel mouch tamou7a, puisqu'il est loin derrière elle! (eli keb l'article -que j'ai même pas fini de lire l'intro- était "un homme")
@ ché: ta vid m'a tué !!
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
interessant tamtouma
non je crois que lhomme tunisien admet le progrès de la femme générallement, reste qu'il aime encore être le gâté dans la maison ; il sait que rentrés le soir, tous les deux sont fatigués, mais c elle la femme , c elle qui doit faire taire la fille qui pleure .....
non je crois que lhomme tunisien admet le progrès de la femme générallement, reste qu'il aime encore être le gâté dans la maison ; il sait que rentrés le soir, tous les deux sont fatigués, mais c elle la femme , c elle qui doit faire taire la fille qui pleure .....
rommena- VIP
-
Nombre de messages : 1238
Age : 76
Date d'inscription : 16/06/2008
l'avis d'un homme, à vous de "juger"!!!
business news.com, par Nizar bahloul:
"C’était avant-hier, c’était leur anniversaire. L’occasion pour fêter nos femmes. Encore une fois. Et encore une fois, le sujet revient sur la table. Comme chaque année. Et comme chaque année, on applaudit leur émancipation. Ce n’est même pas un zeste d’autosatisfaction que l’on observe dans ces applaudissements, c’est un excès.
Assurément, nos femmes sont heureuses. Grâce au Code du Statut Personnel et aux acquis sans cesse renforcés sous l’ère de Ben Ali, elles ne cessent de s’applaudir, de s’enorgueillir, de se réjouir de ces acquis. D’en être fières.
Comparées aux "demi-citoyennes" de plusieurs autres pays arabes, nos femmes sont incontestablement les plus émancipées. Mais faut-il voir au dessous (sans jeu de mots) pour se positionner ?
Comparées à leurs mères et à leurs grand-mères, nos femmes sont incontestablement plus avancées. Mais faut-il voir derrière (encore sans jeu de mots) pour se positionner ?
De leur liberté, de leur égalité, de leur émancipation, nos femmes semblent bien satisfaites. Et pourtant… Force est de constater qu’en matière d’égalité et d’émancipation, beaucoup reste à faire. A l’individuel et au collectif.
A l’individuel. Quand on voit le nombre de femmes voilées, sans cesse croissant, ou encore le nombre de celles qui usent et abusent de tenues vestimentaires provocantes pour arriver à leurs fins, il y a de quoi s’interroger sur la mentalité de ces Tunisiennes qui continuent encore, en 2009, à croire que leurs mèches de cheveux vont titiller la libido et les pulsions de l’autre moitié de leurs concitoyens.
Cette mentalité de se faire expliquer le texte religieux par des barbus enturbannés et rétrogrades, alors que le prophète, lui-même, était ouvert et émancipé.
Cette mentalité de mettre en avant un décolleté ou une paire de jambes pour décrocher un quelconque service.
Celles-là, de l’égalité, elles n’en veulent point entendre parler. C’est à l’homme de régler l’addition au café ou au restaurant, de subvenir aux besoins du foyer et d’être l’argentier de leurs envies. Pour elles, la femme est inférieure à l’homme et le demeurera.
Au niveau collectif, beaucoup a été réalisé en termes d’égalité, mais beaucoup reste à faire dans notre société.
En dépit de leurs diplômes, le plafond de verre demeure dans plusieurs entreprises et les postes de haut niveau restent réservés aux hommes. Exemple parmi d’autres : une seule de nos banques compte une femme à sa tête. Au niveau politique, il a fallu une décision présidentielle pour appliquer une sorte de discrimination positive et pour qu’il y ait un quota minimal de femmes parmi les élus du peuple.
Au niveau syndical, c’est la honte quand on sait que le bureau exécutif de l’unique syndicat en Tunisie ne compte aucune femme.
Mais là où le bât blesse, et où l’égalité doit être instaurée au plus tôt, c’est assurément la question de l’héritage.
En 2009, dans cette Tunisie qu’on dit émancipée, la femme n’a toujours pas droit au même héritage que l’homme. Parce que certains exégètes veulent nous faire croire qu’un texte religieux le stipule. Et à cause de ce texte, qui mérite une interprétation plus ouverte (pourtant, l'Ijtihad est bien recommandé en Islam) et conforme à l’époque dans laquelle nous vivons, voilà bafoué l’un des droits les plus justes des Tunisiennes. De nos jours, et au moins sur le papier, on peut voir un idiot inculte hériter le double de sa sœur intelligente et … émancipée.
Le sujet a été évoqué à moult reprises et, dernièrement, Moufida Tlatli lui a consacré un film. Elle fera l’objet de violentes critiques de la part de certains journaleux qui lui lancent le texte religieux sur la figure. Une éminente professeure, sur le même sujet, a même été condamnée à mort par des apprentis-muftis anonymes.
A suivre leur logique, les femmes devront rester à la maison et s’occuper des enfants. Cela fera reculer le chômage, disent-il…
A suivre leur logique, les femmes ne peuvent être ni juges, ni avocates et encore moins imam(e)s. Et pour qu’elles puissent être témoins, elles doivent se présenter en binôme.
A suivre leur logique, les femmes peuvent être répudiées et flagellées et subir la polygamie de leur époux.
Et tant qu’on y est, pourquoi ne pas couper la main aux voleurs, fouetter les mécréants et pendre les apostats ?
L’émancipation (relative) de nos femmes ne doit en aucun cas leur faire oublier le danger de régression qui les guette. Elles représentent la moitié de la force active de notre pays et, à ce titre, elles méritent un traitement identique de l’autre moitié des citoyens de ce pays.
Leur intelligence, leur force, leur valeur ajoutée ne peuvent être remises en cause pour quelque raison que ce soit, aussi sacrée soit-elle.
La Tunisie n’a pas de ressources naturelles et encore moins de rente pétrolière. Sa principale force, elle la tire de ses enfants. Tous ses enfants, sans exception de genre.
Les acquis actuels ne sont pas mis en doute. Heureusement ! Mais ces acquis doivent être consolidés davantage. Ce n’est pas l’impression qui se dégage aujourd’hui. Celui qui n’avance pas recule. Pour pouvoir avancer, certains de nos hommes et plusieurs de nos femmes doivent cesser de se comparer à des pays vivant encore au Moyen-âge, exiger, jusqu’à l’obtenir, un traitement égal de la part de la République à tous ses citoyens. Et pour obtenir ce traitement, il ne faut pas baisser les bras et crier "autosatisfaction".
Bonne fête Mesdames."
"C’était avant-hier, c’était leur anniversaire. L’occasion pour fêter nos femmes. Encore une fois. Et encore une fois, le sujet revient sur la table. Comme chaque année. Et comme chaque année, on applaudit leur émancipation. Ce n’est même pas un zeste d’autosatisfaction que l’on observe dans ces applaudissements, c’est un excès.
Assurément, nos femmes sont heureuses. Grâce au Code du Statut Personnel et aux acquis sans cesse renforcés sous l’ère de Ben Ali, elles ne cessent de s’applaudir, de s’enorgueillir, de se réjouir de ces acquis. D’en être fières.
Comparées aux "demi-citoyennes" de plusieurs autres pays arabes, nos femmes sont incontestablement les plus émancipées. Mais faut-il voir au dessous (sans jeu de mots) pour se positionner ?
Comparées à leurs mères et à leurs grand-mères, nos femmes sont incontestablement plus avancées. Mais faut-il voir derrière (encore sans jeu de mots) pour se positionner ?
De leur liberté, de leur égalité, de leur émancipation, nos femmes semblent bien satisfaites. Et pourtant… Force est de constater qu’en matière d’égalité et d’émancipation, beaucoup reste à faire. A l’individuel et au collectif.
A l’individuel. Quand on voit le nombre de femmes voilées, sans cesse croissant, ou encore le nombre de celles qui usent et abusent de tenues vestimentaires provocantes pour arriver à leurs fins, il y a de quoi s’interroger sur la mentalité de ces Tunisiennes qui continuent encore, en 2009, à croire que leurs mèches de cheveux vont titiller la libido et les pulsions de l’autre moitié de leurs concitoyens.
Cette mentalité de se faire expliquer le texte religieux par des barbus enturbannés et rétrogrades, alors que le prophète, lui-même, était ouvert et émancipé.
Cette mentalité de mettre en avant un décolleté ou une paire de jambes pour décrocher un quelconque service.
Celles-là, de l’égalité, elles n’en veulent point entendre parler. C’est à l’homme de régler l’addition au café ou au restaurant, de subvenir aux besoins du foyer et d’être l’argentier de leurs envies. Pour elles, la femme est inférieure à l’homme et le demeurera.
Au niveau collectif, beaucoup a été réalisé en termes d’égalité, mais beaucoup reste à faire dans notre société.
En dépit de leurs diplômes, le plafond de verre demeure dans plusieurs entreprises et les postes de haut niveau restent réservés aux hommes. Exemple parmi d’autres : une seule de nos banques compte une femme à sa tête. Au niveau politique, il a fallu une décision présidentielle pour appliquer une sorte de discrimination positive et pour qu’il y ait un quota minimal de femmes parmi les élus du peuple.
Au niveau syndical, c’est la honte quand on sait que le bureau exécutif de l’unique syndicat en Tunisie ne compte aucune femme.
Mais là où le bât blesse, et où l’égalité doit être instaurée au plus tôt, c’est assurément la question de l’héritage.
En 2009, dans cette Tunisie qu’on dit émancipée, la femme n’a toujours pas droit au même héritage que l’homme. Parce que certains exégètes veulent nous faire croire qu’un texte religieux le stipule. Et à cause de ce texte, qui mérite une interprétation plus ouverte (pourtant, l'Ijtihad est bien recommandé en Islam) et conforme à l’époque dans laquelle nous vivons, voilà bafoué l’un des droits les plus justes des Tunisiennes. De nos jours, et au moins sur le papier, on peut voir un idiot inculte hériter le double de sa sœur intelligente et … émancipée.
Le sujet a été évoqué à moult reprises et, dernièrement, Moufida Tlatli lui a consacré un film. Elle fera l’objet de violentes critiques de la part de certains journaleux qui lui lancent le texte religieux sur la figure. Une éminente professeure, sur le même sujet, a même été condamnée à mort par des apprentis-muftis anonymes.
A suivre leur logique, les femmes devront rester à la maison et s’occuper des enfants. Cela fera reculer le chômage, disent-il…
A suivre leur logique, les femmes ne peuvent être ni juges, ni avocates et encore moins imam(e)s. Et pour qu’elles puissent être témoins, elles doivent se présenter en binôme.
A suivre leur logique, les femmes peuvent être répudiées et flagellées et subir la polygamie de leur époux.
Et tant qu’on y est, pourquoi ne pas couper la main aux voleurs, fouetter les mécréants et pendre les apostats ?
L’émancipation (relative) de nos femmes ne doit en aucun cas leur faire oublier le danger de régression qui les guette. Elles représentent la moitié de la force active de notre pays et, à ce titre, elles méritent un traitement identique de l’autre moitié des citoyens de ce pays.
Leur intelligence, leur force, leur valeur ajoutée ne peuvent être remises en cause pour quelque raison que ce soit, aussi sacrée soit-elle.
La Tunisie n’a pas de ressources naturelles et encore moins de rente pétrolière. Sa principale force, elle la tire de ses enfants. Tous ses enfants, sans exception de genre.
Les acquis actuels ne sont pas mis en doute. Heureusement ! Mais ces acquis doivent être consolidés davantage. Ce n’est pas l’impression qui se dégage aujourd’hui. Celui qui n’avance pas recule. Pour pouvoir avancer, certains de nos hommes et plusieurs de nos femmes doivent cesser de se comparer à des pays vivant encore au Moyen-âge, exiger, jusqu’à l’obtenir, un traitement égal de la part de la République à tous ses citoyens. Et pour obtenir ce traitement, il ne faut pas baisser les bras et crier "autosatisfaction".
Bonne fête Mesdames."
nada- adhérant
-
Nombre de messages : 49
Age : 41
Localisation : Tunisie
Emploi/loisirs : flaneur professionnel:)
Humeur : nostalgique
Date d'inscription : 20/02/2009
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
nada a écrit:business news.com, par Nizar bahloul:
"C’était avant-hier, c’était leur anniversaire. L’occasion pour fêter nos femmes. Encore une fois. Et encore une fois, le sujet revient sur la table. Comme chaque année. Et comme chaque année, on applaudit leur émancipation. Ce n’est même pas un zeste d’autosatisfaction que l’on observe dans ces applaudissements, c’est un excès.
Assurément, nos femmes sont heureuses. Grâce au Code du Statut Personnel et aux acquis sans cesse renforcés sous l’ère de Ben Ali, elles ne cessent de s’applaudir, de s’enorgueillir, de se réjouir de ces acquis. D’en être fières.
Comparées aux "demi-citoyennes" de plusieurs autres pays arabes, nos femmes sont incontestablement les plus émancipées. Mais faut-il voir au dessous (sans jeu de mots) pour se positionner ?
Comparées à leurs mères et à leurs grand-mères, nos femmes sont incontestablement plus avancées. Mais faut-il voir derrière (encore sans jeu de mots) pour se positionner ?
De leur liberté, de leur égalité, de leur émancipation, nos femmes semblent bien satisfaites. Et pourtant… Force est de constater qu’en matière d’égalité et d’émancipation, beaucoup reste à faire. A l’individuel et au collectif.
A l’individuel. Quand on voit le nombre de femmes voilées, sans cesse croissant, ou encore le nombre de celles qui usent et abusent de tenues vestimentaires provocantes pour arriver à leurs fins, il y a de quoi s’interroger sur la mentalité de ces Tunisiennes qui continuent encore, en 2009, à croire que leurs mèches de cheveux vont titiller la libido et les pulsions de l’autre moitié de leurs concitoyens.
Cette mentalité de se faire expliquer le texte religieux par des barbus enturbannés et rétrogrades, alors que le prophète, lui-même, était ouvert et émancipé.
Cette mentalité de mettre en avant un décolleté ou une paire de jambes pour décrocher un quelconque service.
Celles-là, de l’égalité, elles n’en veulent point entendre parler. C’est à l’homme de régler l’addition au café ou au restaurant, de subvenir aux besoins du foyer et d’être l’argentier de leurs envies. Pour elles, la femme est inférieure à l’homme et le demeurera.
Au niveau collectif, beaucoup a été réalisé en termes d’égalité, mais beaucoup reste à faire dans notre société.
En dépit de leurs diplômes, le plafond de verre demeure dans plusieurs entreprises et les postes de haut niveau restent réservés aux hommes. Exemple parmi d’autres : une seule de nos banques compte une femme à sa tête. Au niveau politique, il a fallu une décision présidentielle pour appliquer une sorte de discrimination positive et pour qu’il y ait un quota minimal de femmes parmi les élus du peuple.
Au niveau syndical, c’est la honte quand on sait que le bureau exécutif de l’unique syndicat en Tunisie ne compte aucune femme.
Mais là où le bât blesse, et où l’égalité doit être instaurée au plus tôt, c’est assurément la question de l’héritage.
En 2009, dans cette Tunisie qu’on dit émancipée, la femme n’a toujours pas droit au même héritage que l’homme. Parce que certains exégètes veulent nous faire croire qu’un texte religieux le stipule. Et à cause de ce texte, qui mérite une interprétation plus ouverte (pourtant, l'Ijtihad est bien recommandé en Islam) et conforme à l’époque dans laquelle nous vivons, voilà bafoué l’un des droits les plus justes des Tunisiennes. De nos jours, et au moins sur le papier, on peut voir un idiot inculte hériter le double de sa sœur intelligente et … émancipée.
Le sujet a été évoqué à moult reprises et, dernièrement, Moufida Tlatli lui a consacré un film. Elle fera l’objet de violentes critiques de la part de certains journaleux qui lui lancent le texte religieux sur la figure. Une éminente professeure, sur le même sujet, a même été condamnée à mort par des apprentis-muftis anonymes.
A suivre leur logique, les femmes devront rester à la maison et s’occuper des enfants. Cela fera reculer le chômage, disent-il…
A suivre leur logique, les femmes ne peuvent être ni juges, ni avocates et encore moins imam(e)s. Et pour qu’elles puissent être témoins, elles doivent se présenter en binôme.
A suivre leur logique, les femmes peuvent être répudiées et flagellées et subir la polygamie de leur époux.
Et tant qu’on y est, pourquoi ne pas couper la main aux voleurs, fouetter les mécréants et pendre les apostats ?
L’émancipation (relative) de nos femmes ne doit en aucun cas leur faire oublier le danger de régression qui les guette. Elles représentent la moitié de la force active de notre pays et, à ce titre, elles méritent un traitement identique de l’autre moitié des citoyens de ce pays.
Leur intelligence, leur force, leur valeur ajoutée ne peuvent être remises en cause pour quelque raison que ce soit, aussi sacrée soit-elle.
La Tunisie n’a pas de ressources naturelles et encore moins de rente pétrolière. Sa principale force, elle la tire de ses enfants. Tous ses enfants, sans exception de genre.
Les acquis actuels ne sont pas mis en doute. Heureusement ! Mais ces acquis doivent être consolidés davantage. Ce n’est pas l’impression qui se dégage aujourd’hui. Celui qui n’avance pas recule. Pour pouvoir avancer, certains de nos hommes et plusieurs de nos femmes doivent cesser de se comparer à des pays vivant encore au Moyen-âge, exiger, jusqu’à l’obtenir, un traitement égal de la part de la République à tous ses citoyens. Et pour obtenir ce traitement, il ne faut pas baisser les bras et crier "autosatisfaction".
Bonne fête Mesdames."
Femmes ou pas femmes ce Mr ne se prend qu'à l'islam à mon avis...d'une manière assez souple..mais il le fait quand même...
déjà mettre en doute des versets clairs du corans ne peut se comprendre autrement..
On lui rappellerait bien qu'on est un pays musulman en premier lieu...par la constitution et dans son premier article...
Sinon il me choque avec sa phrase "un idiot inculte...et sa sœur intelligente..."
Reste la remarque la plus importante=>
Ce Mr se dit en faveur de plus "d'émancipation" des femmes, alors qu'il est, d'après son discours, contre le choix de la femme dans toutes ses formes il n'accepte pas qu'une femme se voile et n'accepte pas non plus qu'une femme use de son 'charme' pour obtenir un service ou se voir offrir un repas au restaurant ...mais après tout c'est son corps !! Mr "le libre et émancipé " elle en fait ce qu'elle veut...
c'est pas ça l'émancipation de la femme ?! ou faut il nous raconter des foutaises à force de vouloir rester dans le politiquement correct et venir se la jouer en libre chroniqueur de l'état social
personnellement, étant musulman, j'aime bien qu'une femme/fille soit "mastoura" (habillée pudiquement); qu'elle soit voilée ou non
par contre, si je laisse à côté cet aspect musulman, si je parle par exemple pour une femme non musulmane, et bien je ne vois pas de mal à ce qu'elle soit fière de sa différence de l'homme, qu'elle porte des décolletés ou des mini jupes...chose que ce monsieur n'apprécie pas...et justement ça nous amène à une certaine conclusion; Ce monsieur ne veut pas d'une femme Tunisienne qui se compare aux femmes arabes, ou musulmanes en général, souvent voilées...il ne veut pas non plus que cette même femme se comporte comme la majorité des femmes européennes ou américaines qui "usent de tenues provocantes"...
Elle ne doit pas non plus se comparer à l'ancienne femme tunisienne, dit il
alors ?! Il la veut non orientale, non occidentale, non ancestrale donc ?!
vous êtes sûr qu'il est pour la femme ?! non je veux dire qu'il accepte même l'existence de la femme sur terre ?!
A mon avis c'est d'une femme robot qu'il a envie, celle qui travaille, paye au restaurant et n'a pas de corps ni à montrer ni à cacher...juste une plaque métallique bourrée de vis...
blackleg- modérateur
- Nombre de messages : 2413
Date d'inscription : 01/07/2008
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
A suivre leur logique, les femmes devront rester à la maison et s’occuper des enfants. Cela fera reculer le chômage, disent-il…
A suivre leur logique, les femmes ne peuvent être ni juges, ni avocates et encore moins imam(e)s. Et pour qu’elles puissent être témoins, elles doivent se présenter en binôme.
A suivre leur logique, les femmes peuvent être répudiées et flagellées et subir la polygamie de leur époux.
Et tant qu’on y est, pourquoi ne pas couper la main aux voleurs, fouetter les mécréants et pendre les apostats ?
Pour moi ceux qui pense ainsi est ben ils sont carrément à l'ouest
halloula- modérateur
-
Nombre de messages : 2540
Age : 38
Localisation : fi darnaaaaaaaa
Humeur : jawwwwwwwwww
Date d'inscription : 28/05/2008
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
De leur liberté, de leur égalité, de leur émancipation, nos femmes semblent bien satisfaites. Et pourtant… Force est de constater qu’en matière d’égalité et d’émancipation, beaucoup reste à faire. A l’individuel et au collectif.
oui certainement beaucoup reste à faire fi tounes
lolita- developer
-
Nombre de messages : 1274
Age : 35
Localisation : partout ou t'ira tu me trouvra
Humeur : arja3 ghodwa
Date d'inscription : 16/09/2008
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
cet article m'a déçu surtout que je suis "fan" de ce journaliste et je dévore ses écrits à pleine dents, je connaissais sa position par rapport à la religion mais là ça m'a paru complètement décousu et sans aucune objectivité...
néanmoins, je suis d'accord sur le fait qu'il reste beaucoup à faire pour et par la femme tunisienne.
ah oui, j'aime pas l'idée qu'une femme use de son charme pour obtenir quoique ce soit, même le plus banal des services...
bon, c'était un truc qui m'a négativement marqué et je voulais connaitre votre avis dessus...
néanmoins, je suis d'accord sur le fait qu'il reste beaucoup à faire pour et par la femme tunisienne.
ah oui, j'aime pas l'idée qu'une femme use de son charme pour obtenir quoique ce soit, même le plus banal des services...
bon, c'était un truc qui m'a négativement marqué et je voulais connaitre votre avis dessus...
nada- adhérant
-
Nombre de messages : 49
Age : 41
Localisation : Tunisie
Emploi/loisirs : flaneur professionnel:)
Humeur : nostalgique
Date d'inscription : 20/02/2009
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
le tunisiano a écrit:fi touness ?
oui fi tounes
lolita- developer
-
Nombre de messages : 1274
Age : 35
Localisation : partout ou t'ira tu me trouvra
Humeur : arja3 ghodwa
Date d'inscription : 16/09/2008
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
les femmes tunisiennes sont fi né3ma par rapport aux autres pays
mais nos femmes tellement 3inihom t7alét (les causes sont connues ..) croyaient que dans les pays occidentaux la femme est mieux respectée et ba non ce sont juste des images et des propagandes ..
mais nos femmes tellement 3inihom t7alét (les causes sont connues ..) croyaient que dans les pays occidentaux la femme est mieux respectée et ba non ce sont juste des images et des propagandes ..
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
nada a écrit: mais là ça m'a paru complètement décousu et sans aucune objectivité...
blackleg a écrit:faut il nous raconter des foutaises à force de vouloir rester dans le politiquement correct et venir se la jouer en libre chroniqueur de l'état social
blackleg- modérateur
- Nombre de messages : 2413
Date d'inscription : 01/07/2008
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
Ah bon ?? les femmes avancent ?? c'est nouveau ça !
El-Baklouti- VIP
-
Nombre de messages : 1053
Age : 103
Date d'inscription : 05/07/2008
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
El-Baklouti a écrit:Ah bon ?? les femmes avancent ?? c'est nouveau ça !
Elles avancent c'est vrai dans les domaines scientifiques par exemple et elles s'integrent de plus en plus dans la société mais malheureusement certaines femmes ont mal compris la définition de libérté
Hela- modérateur
-
Nombre de messages : 2960
Date d'inscription : 25/07/2008
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
tounes dima sabbé9a hetha al maydén , par exemple Une femme pour arbitrer un match de foot c'était y'a 2 ou 3 ans
non vraiment chay ycharref
non vraiment chay ycharref
Invité- Invité
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
pour plus d'homme au chomage.
El-Baklouti- VIP
-
Nombre de messages : 1053
Age : 103
Date d'inscription : 05/07/2008
Re: pourquoi l'homme ne reconnait pas les progrès de la femme?!!!!!
bon à propo du chomage c'est pas la faute des femmes non!! C'est pas sa faute si on la trouve tjs dans les premiéres places soit dans les études soit dans les autres domaines...
Hela- modérateur
-
Nombre de messages : 2960
Date d'inscription : 25/07/2008
Page 2 sur 2 • 1, 2
Sujets similaires
» pourquoi
» pourquoi on dit ce qu'on ne fait pas
» Pour ceux qui dit pourquoi
» la femme idéale.....!!!??
» pourquoi les tenues courtes, sexys ?
» pourquoi on dit ce qu'on ne fait pas
» Pour ceux qui dit pourquoi
» la femme idéale.....!!!??
» pourquoi les tenues courtes, sexys ?
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum