histoire
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histoire
و أخبار الأمم الماضية غامضة لدينا و علمنا بالقليل لا ينفي جهلنا بالكثير
ولعل منا من يميل الي تاريخ مصر القديم و فينا من هو أدرى بأخبار الرومان والاغريق و بيزنطة
ومن هو أعلم باحوال قرطاجة
و من يميل الى اخبار الجاهلية و بني امية و بني العباس.
فاذا وضع كل واحد منا هنا بالتداول حدثا واحدا يبسطه للجميع ,أنار من علم طريق من جهل
zaid- bavard
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Date d'inscription : 04/12/2009
Re: histoire
Meme si j'ai introduit le sujet en arabe ,je n'exige pas l'utilisation d'une langue,toute réponse ,toute commentaire ,toute information postés ici sont les bienvenus
zaid- bavard
-
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Date d'inscription : 04/12/2009
Re: histoire
Et enfin :je vois pas que nous sommes obligé de suivre un ordre chronologique ;
ca va etre plus amusant de traiter des evennement par hazard mais bien intoduit ;
je vois aussi qu'il n'est pas necessaire de parler de l'histoire récent ;puisque tous connais la plupart de ses traits.
Avant de commencer que dites vous?
ca va etre plus amusant de traiter des evennement par hazard mais bien intoduit ;
je vois aussi qu'il n'est pas necessaire de parler de l'histoire récent ;puisque tous connais la plupart de ses traits.
Avant de commencer que dites vous?
zaid- bavard
-
Nombre de messages : 123
Date d'inscription : 04/12/2009
Re: histoire
donc c moi qui va commencer
La Troisième Guerre punique (149-146 av. J.-C.) est déclenchée par
une offensive romaine en Afrique qui aboutit à la défaite et à la
destruction de Carthage après un siège de trois ans.
Carthage retrouva une certaine prospérité économique entre 200 et
149 av. J.-C. mais se trouve contrainte de violer le traité de 201
avec Rome en se laissant entraîner dans une guerre avec
les Numides de Massinissa, lancés dans des campagnes successives
destinées à empiéter sur le territoire africain de la cité punique
aux abois.
Dès lors, avec le casus belli, le Sénat romain décide d'une campagne
destinée à amener les troupes romaines à pied d'œuvre siège
de Carthage, qui dure trois ans (de 149 à 146 av. J-C).
D'abord mené par les consuls Manilius et Censorinus,
le siège est conduit finalement par Scipion Émilien,
surnommé dès lors « Scipion le second Africain ».
L'offensive finale partit de la zone des ports puniques.
Le siège s'achève par la destruction totale de la ville.
Ils vont de maison en maison en exécutant ou en asservissant la population.
Les témoignages sur la guerre de rue témoignent d'une férocité
particulière,
le point final de la cité punique étant le siège de la citadelle située sur
la colline de Byrsa qui se serait achevé par le suicide
de l'épouse d'Hasdrubal le Boétarque .
La cité brûle pendant dix-sept jours.
Rayée de la carte, elle ne laisse que des ruines.
Au XXe siècle, une théorie a indiqué que les Romains
ont répandu du sel sur les terres agricoles de Carthage pour
empêcher de cultiver la terre, théorie totalement démentie désormais
, l'Afrique devenant par la suite le « grenier à blé »
de Rome, le territoire de l’ancienne cité étant néanmoins
déclaré sacer, c’est-à-dire maudit.
La Troisième Guerre punique (149-146 av. J.-C.) est déclenchée par
une offensive romaine en Afrique qui aboutit à la défaite et à la
destruction de Carthage après un siège de trois ans.
Carthage retrouva une certaine prospérité économique entre 200 et
149 av. J.-C. mais se trouve contrainte de violer le traité de 201
avec Rome en se laissant entraîner dans une guerre avec
les Numides de Massinissa, lancés dans des campagnes successives
destinées à empiéter sur le territoire africain de la cité punique
aux abois.
Dès lors, avec le casus belli, le Sénat romain décide d'une campagne
destinée à amener les troupes romaines à pied d'œuvre siège
de Carthage, qui dure trois ans (de 149 à 146 av. J-C).
D'abord mené par les consuls Manilius et Censorinus,
le siège est conduit finalement par Scipion Émilien,
surnommé dès lors « Scipion le second Africain ».
L'offensive finale partit de la zone des ports puniques.
Le siège s'achève par la destruction totale de la ville.
Ils vont de maison en maison en exécutant ou en asservissant la population.
Les témoignages sur la guerre de rue témoignent d'une férocité
particulière,
le point final de la cité punique étant le siège de la citadelle située sur
la colline de Byrsa qui se serait achevé par le suicide
de l'épouse d'Hasdrubal le Boétarque .
La cité brûle pendant dix-sept jours.
Rayée de la carte, elle ne laisse que des ruines.
Au XXe siècle, une théorie a indiqué que les Romains
ont répandu du sel sur les terres agricoles de Carthage pour
empêcher de cultiver la terre, théorie totalement démentie désormais
, l'Afrique devenant par la suite le « grenier à blé »
de Rome, le territoire de l’ancienne cité étant néanmoins
déclaré sacer, c’est-à-dire maudit.
zaid- bavard
-
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Date d'inscription : 04/12/2009
Re: histoire
Les guerres puniques !!! j'ai tout de suite pensé à ça en lisant ton premier message
Mais j'ai pas pensé à cet épisode, mais plutôt à celui du Brave Hannibal traversant les Alpes et remportant des victoires jusqu'aux faubourgs de Rome où il a passé des années sans attaquer la ville, puisque "trahis" par le sénat de Carthage qui ne lui envoya pas de renforts, au moment où de nombreux souverains de la méditerranée acceptent l'alliance avec Hannibal...
La suite (très intéressant !! )
Mais j'ai pas pensé à cet épisode, mais plutôt à celui du Brave Hannibal traversant les Alpes et remportant des victoires jusqu'aux faubourgs de Rome où il a passé des années sans attaquer la ville, puisque "trahis" par le sénat de Carthage qui ne lui envoya pas de renforts, au moment où de nombreux souverains de la méditerranée acceptent l'alliance avec Hannibal...
Wiki à propos de la Bataille de cannes, a écrit:
Hannibal, qui n’a pas l’intention d’attaquer Rome dans un premier temps, vise l’Apulie, et notamment la ville de Capoue[74]. Au printemps 216, il prend l’initiative en attaquant un dépôt important de ravitaillement à Cannes. Par cette action, le général se place entre les Romains et leur source cruciale de vivres[75]. Les citoyens romains élisent Caius Terentius Varro et Lucius Aemilius Paullus nouveaux consuls[42]. Espérant la victoire, ces derniers lèvent une nouvelle armée — Rome n’a alors jamais formé une armée aussi nombreuse[17] — estimée à près de 100 000 hommes[76]. Ces derniers renoncent par là-même à la tactique efficace, mais lente, d’évitement et optent pour un choc frontal[17].
Anéantissement de l'armée romaine à Cannes en 216 (Académie militaire de West Point)
La rencontre, considérée comme un chef-d’œuvre de tactique d’Hannibal, a finalement lieu le 2 août 216[26] sur la rive gauche de la rivière Ofanto (sud de l’Italie)
près de laquelle les Romains installent leur campement. Les armées des
deux consuls sont réunies, ces derniers alternant quotidiennement le
commandement des troupes. Varro, choisi comme chef pour la première
journée, est déterminé à vaincre Hannibal[76]. À la tête de 50 000 hommes[26],
le Carthaginois capitalise sur la colère de Varro et l’attire dans un
piège en usant d’une tactique d’encerclement. Il élimine ainsi
l’avantage numérique des Romains en réduisant la surface de combat.
Hannibal place son infanterie la plus faible en demi-cercle et la renforce par des cavaliers gaulois et numides sur ses flancs[76].
Les légions romaines qui s’étalent sur un kilomètre et demi
s’engouffrent dans la partie centrale mais les flancs carthaginois
suivent le mouvement et enferment les légionnaires[17]. L’efficacité de la cavalerie d’Hannibal est irrésistible et Hasdrubal (à ne pas confondre avec Hasdrubal Barca qui commande le flanc gauche), après avoir contourné les troupes romaines par l’arrière, attaque la cavalerie de Varro[76]. L’armée romaine n’a plus aucun moyen de s’échapper.
Hannibal comptant les anneaux des chevaliers romains tombés à la bataille de Cannes en 216. Marbre de 1704 par Sébastien Slodtz actuellement exposée au musée du Louvre.
À la fin de la bataille, Hannibal récupère les anneaux des
chevaliers romains tombés au combat, ce qui lui permet de donner la
preuve irréfutable au gouvernement carthaginois de sa victoire sur les
Romains[17].
Grâce à sa brillante tactique, Hannibal, bien que disposant de moins
d’hommes, parvient à anéantir pratiquement la totalité des forces
rivales. La bataille de Cannes est la plus désastreuse défaite des
Romains[17]. Les pertes de ces derniers sont évaluées entre 25 000[42] et 70 000 morts[9]. Parmi les morts figurent le consul Lucius Aemilius Paullus[22] ainsi que deux anciens consuls, deux questeurs, 29 des 48 tribuns militaires et 80 sénateurs (25 % à 30 % du total de ses membres). De plus, 10 000 Romains sont capturés par Hannibal[42]. Cette bataille est l’une des plus sanglantes de l’Histoire en termes de pertes durant une seule journée[76]. Quant aux Carthaginois, ils perdent 6 000 hommes[21].
Cette victoire s’explique par la tactique utilisée lors du combat
mais aussi par l’habileté politique d’Hannibal qui utilise les erreurs
de ses adversaires. Il pousse ainsi plusieurs fois les consuls, pressés
de remporter une victoire avant la fin de leur mandat, à la faute comme
au lac Trasimène. Cela suppose une connaissance fine des institutions
romaines et des acteurs politiques. Les espions puniques, souvent de
simples commerçants, jouent également un grand rôle dans cette guerre.
Après Cannes, les Romains ne sont plus aussi enthousiastes pour
affronter Hannibal directement et préfèrent le vaincre par le
harcèlement en se basant sur leurs avantages numériques et en matière
de ravitaillement. C’est pourquoi, Hannibal et Rome ne s’affrontent
plus sur le territoire italien jusqu’à la fin de la guerre[77].
Néanmoins, refusant à tout prix de s’incliner, Rome lève même de
nouvelles troupes. L’effet de cette victoire carthaginoise pousse de
nombreuses parties de l’Italie à se rallier à la cause d’Hannibal[78]. Comme le note Tite-Live,
« le désastre de Cannes fut plus grave que les précédents, on en a déjà
un indice dans ce fait que la fidélité des alliés, qui jusqu’à ce jour
était restée ferme, commença à chanceler, sans aucune raison,
assurément, sinon qu’ils désespéraient de l’empire[79] ». Durant la même année, les cités grecques de Sicile se révoltent contre le contrôle politique des Romains alors que le roi Philippe V de Macédoine apporte son appui à Hannibal[74], lançant par la même la Première guerre macédonienne contre Rome. Hannibal noue aussi une alliance avec le nouveau roi Hiéronyme de Syracuse.
On affirme souvent que si Hannibal avait reçu le matériel nécessaire de
la part de Carthage, il aurait pu conduire une attaque directe contre
Rome. Pour le moment, il se contente de harceler les forteresses qui
lui résistent encore et le seul événement marquant de l’année est la
défection de certains territoires italiens importants tels que Capoue,
la seconde ville d’Italie, dont Hannibal fait sa nouvelle base.
Néanmoins, seul un petit nombre des cités italiennes qu’Hannibal espère
rallier consentent à le rejoindre.
En réalité, ce que souhaite Hannibal, outre reprendre la Sicile, est
moins la destruction de Rome en tant que ville qu’en tant qu’entité
politique[80],
d’où son refus de tenter de prendre la ville après la bataille de
Cannes et la fameuse phrase attribuée à son chef de cavalerie Maharbal :« Tu sais vaincre, Hannibal ; tu ne sais pas profiter de la victoire[81]. »En fait, Hannibal utilise ses victoires pour essayer de faire basculer dans son camp les cités soumises à Rome[24]. Les prisonniers, par exemple, sont divisés en deux groupes. Les citoyens romains — qui sont réduits à l’esclavage ou proposés au rachat — et les citoyens latins ou alliés qui sont renvoyés chez eux.
La suite (très intéressant !! )
blackleg- modérateur
- Nombre de messages : 2413
Date d'inscription : 01/07/2008
Re: histoire
ouais c'est interessant de le savoir .merci black
2 phrases m'ont laisser reflechir :
En tout cas il est comme a dit Ayrault Dodge ( "father of strategy" )for his habit of outwitting and outflanking the more powerful Romans, and because the Romans eventually adopted many of his tactics.
2 phrases m'ont laisser reflechir :
blackleg a écrit:
Wiki à propos de la Bataille de cannes, a écrit:
On affirme souvent que si Hannibal avait reçu le matériel nécessaire de
la part de Carthage, il aurait pu conduire une attaque directe contre
Rome.
<< Tu sais vaincre, Hannibal ; tu ne sais pas profiter de la victoire>>
En tout cas il est comme a dit Ayrault Dodge ( "father of strategy" )for his habit of outwitting and outflanking the more powerful Romans, and because the Romans eventually adopted many of his tactics.
zaid- bavard
-
Nombre de messages : 123
Date d'inscription : 04/12/2009
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